L’année 2020 était marquée par le confinement dû au coronavirus. Pour certains couples, ces périodes ont fait naître l’envie d’enfanter, et pour d’autres, fonder une famille est impensable dans cette situation. On s’attendait à un baby-boom post-covid, mais on dirait bien que ce n’est pas le cas. Tout de suite les explications.
Au sein des maternités françaises, les bébés du confinement, ceux qui ont été conçus au cours du mois de mars, commencent à arriver depuis quelques semaines, mais leur nombre n’est pas aussi important qu’on pourrait bien le croire. D’ailleurs, il y a une baisse de naissances de 7 % au mois de décembre 2020 par rapport à la même période en 2019. De plus, dans plusieurs maternités, les accouchements ont chuté le mois de janvier 2021, c’est plus de 25 % partout, et les prévisions des mois à venir ne laissent pas présager une importante augmentation. Le coronavirus a eu des conséquences sur la mortalité, il est fort possible que ça entraîne une seconde crise démographique. À l’échelle internationale, il n’y a pas encore de données concernant l’impact du coronavirus sur le nombre de naissances et de grossesses. Toutefois, le recul de la natalité pourrait atteindre entre 10 et 15 % en 2020 et 2021. Ça veut dire qu’il y a une quinzaine ou vingtaine de millions de naissances écartées, un impact sur la population mondiale plus de 10 fois plus au nombre de décès. Découvrez Mamanbonsplans pour davantage d’informations.
Depuis déjà quelques mois, les scientifiques se penchent sur le ralentissement des naissances. Ainsi, ils ont mené des enquêtes concernant les intentions d’enfanter des couples, et ce, dans différents pays. Les résultats sont identiques, les couples reportent leur envie de bébé. Si on prend l’Italie, 37 % des Italiens ayant prévu de concevoir un enfant en 2020 ont reporté leur projet, 21 % ont même abandonné l’idée. Aux États-Unis, la chute du nombre de naissance est de 8 % environ l’année 2021, c’est plus de 300.000 berceaux vides comparé à tous les ans. En France, pour les couples ayant entamé un projet bébé, 51 % ont reporté leur projet, tandis que 17 % ont renoncé. Le report de projet d’enfant baisse les naissances de 2 ans environ. À noter que l’Hexagone est déjà bien marqué par la baisse de natalité depuis une dizaine d’années, mais il n’y a pas encore de données nationales permettant de mesure précisément l’ampleur de la situation.
À l’échelle individuelle, on constate différents effets du coronavirus, notamment les restrictions sanitaires, des confinements et de la crise économique. Cette situation a créé d’importants niveaux d’angoisse, et le stress a des impacts négatifs sur la libido résultat, les couples français ont dit avoir eu moins de relations sexuelles que d’habitude pendant les confinements.
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