L’infertilité masculine ou féminine toucherait 10 à 15% de la population. Les causes les plus communes sont physiologiques, différentes chez l’homme et la femme, mais d’autres facteurs peuvent aussi jouer sur l’infertilité, liés à l’environnement et au mode de vie. Revue de ces derniers.
Le tabac est une cause d’infertilité masculine et féminine.
Sa consommation allonge le délai de conception et diminue la réserve ovarienne de la femme en diminuant le taux d’œstrogènes, hormones nécessaires au bon déroulement de la fécondation. Une grosse fumeuse a 30% moins de chances de procréer qu’une non fumeuse.
Chez l’homme, le tabac à haute dose altère le nombre et la qualité des spermatozoïdes.
En plus de réduire la libido, donc la fréquence des rapports sexuels, une forte consommation d’alcool chez l’homme comme chez la femme semble nuire à la fécondité en allongeant le délai de conception du couple.
Les femmes qui boivent plus de trois tasses de café (ou équivalent) par jour ont moitié moins de chances de concevoir par rapport à celles qui en consomment moins.
Les femmes qui n’ont jamais eu d’enfant et qui pratiquent un exercice vigoureux plus d’une heure par jour augmenteraient leurs risques d’infertilité, car les endorphines sécrétées à cette occasion pourraient inhiber l’ovulation en élevant le taux de prolactine.
Manger trop de sucre provoque la sécrétion trop importante d’une hormone, l’adrénaline, qui interagit alors contre la progestérone, une hormone qui prépare l’utérus à une éventuelle grossesse.
Une maigreur trop importante, un excès de poids ou un changement important de poids chez la femme (en perte ou en gain) perturbe le cycle menstruel. Un surpoids chez l’homme pourrait également avoir des répercussions sur les spermatozoïdes.
La fécondité féminine diminue d’environ 50 % à partir de 40 ans (épuisement de la réserve de follicules, production hormonale moindre) et le taux d’avortements spontanés est deux à trois fois plus élevé. Chez les hommes, l’altération des spermatozoïdes ne commence qu’à partir de 45 ans, avec un risque accru d’anomalies chromosomiques au-delà de 55 ans.
Jeans, pantalons ou boxers très serrés pour les hommes, portant la température des testicules à 37° (comme le corps) au lieu de 35°, altèrent le sperme. Tous les métiers qui réchauffent les testicules (chauffeurs routiers, boulangers, blanchisseurs, fondeurs) sont également concernés.
L’exposition aux solvants organiques (dans colle, teintures, cosmétiques, diluants, dissolvant du nettoyage à sec…) ; aux métaux lourds (dans poterie, céramique, peinture, plomberie, soudure, dentisterie, piles, photographie…), ou encore aux gaz anesthésiques, aux pesticides et aux radiations (rayons X, UV, champs électromagnétiques) perturberait le système endocrinien, augmenterait le risque de fausses couches, d’anomalies des ovules et des testicules et diminuerait la qualité des spermatozoïdes.
Un état de très forte anxiété peut provoquer une diminution, voire une absence d’ovulation de la femme. De plus, chaque individu peut être traumatisé dans sa fonction de parent en conséquence de son propre vécu, de son inconscient, notamment de sa relation avec sa mère.
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